« Ces Français que nous fûmes contraints de jeter dans la bataille, ils ont des droits sur nous ». Les paroles du Président du Conseil, Georges Clemenceau, prononcées devant l’Assemblée Nationale le 20 novembre 1917, deviennent emblématiques de la relation d’obligation qui liait les anciens combattants et l’État dans l’entre-deux-guerres.
Ainsi s’exprimait Georges Clémenceau, homme d'État français, président du Conseil de 1906 à 1909 puis de 1917 à 1920 qui fut surnommé Le Tigre; Le Père la Victoire; Le Tombeur de gouvernements; Le Premier Flic de France
Cette phrase recouvre l'un des fondements de la reconnaissance nationale à l'égard de tous ceux qui ont servi la France et constitue le "Droit à Réparation".
Ce droit s'exprime au travers des droits spécifiques reconnus aux anciens combattants de manière générale et d'un droit plus caractéristique pour ceux qui ont eu à subir des dommages physiques ou moraux. Ces dispositions font l'objet d'un code spécifique : le "Code des pensions militaires d'invalidité".
La FNACA soucieuse de faire respecter les droits de ses adhérents, dispose de deux structures complémentaires pour assurer l'information et la défense de tous ceux qui font appel à ses compétences:
Information importante à l'attention des Algériens nés en Algérie avant le 1er janvier 1963