Chronologie de la Guerre
d'Algérie
Chronologie de la Guerre d'Algérie
Attentats simultanés sur l'ensemble du territoire algérien.
L'Armée de libération nationale (ALN) constitua le bras armé du Front de libération nationale (FLN) en guerre contre la colonisation française en Algérie à partir de novembre 1954
Attentats simultanés sur l'ensemble du territoire algérien.
L'Armée de libération nationale (ALN) constitua le bras armé du Front de libération nationale (FLN) en guerre contre la colonisation française en Algérie à partir de novembre 1954
Attentats simultanés sur l'ensemble du territoire algérien.
L'Armée de libération nationale (ALN) constitua le bras armé du Front de libération nationale (FLN) en guerre contre la colonisation française en Algérie à partir de novembre 1954
Attentats simultanés sur l'ensemble du territoire algérien.
L'Armée de libération nationale (ALN) constitua le bras armé du Front de libération nationale (FLN) en guerre contre la colonisation française en Algérie à partir de novembre 1954
P. Mendès France, Président du Conseil, et F. Mitterrand, Ministre de l'Intérieur, multiplient les déclarations sur l'appartenance de l'Algérie à la France.
Après une lutte de pouvoir entre ses mouvements et le Front de libération nationale (FLN) au cours de laquelle il sera la cible d'attentats, il cède à ce dernier la conduite des mouvements prônant l'indépendance de l'Algérie. Il se retire alors de la vie politique.
Il est nommé à cette fonction par Pierre Mendès France. La politique de Soustelle, qui est un ethnologue de formation, c'est l'assimilation des musulmans et de leur culture.
La France tente d'éviter l'internationalisation sous le prétexte des « opérations de police à l'intérieur des départements français » sous la juridiction et l'autorité du ministère de l'Intérieur français, alors qu'on dénombre près de 1 000 attentats.
Elles étaient chargées, entre autres, de l'alphabétisation et elles devaient être, selon Jacques SOUSTELLE le coeur de la France qui bat dans chaque douar.
Confronté, lors d'une visite à Alger le 6 février 1956, à l'hostilité violente (jets de légumes, cris, menaces de mort explicites) de la population d'origine européenne (appelée journée des tomates), puis à l'impossibilité de réunir une majorité parlementaire sur une ligne libérale en Algérie, il s'engage dans une politique répressive…
En savoir plus
La France reconnaît l'indépendance de la Tunisie, mettant fin au protectorat instauré le 12 mai 1881 par le traité du Bardo.
L'avion d'Air Maroc, conduisant de Rabat à Tunis cinq des chefs historiques du FLN, est illégalement détourné dans l'espace international sur Alger.
3 bombes FLN, dissimulées dans des poteaux d'éclairage public près d'arrêts de tram, explosent à la sortie des bureaux : 8 morts 88 blessés.
L'armée française exerce un droit de suite en Tunisie. Sur la frontière avec la Tunisie, l'armée française construit une ligne de fortins reliés par des lignes de fer barbelées, des champs de mines et patrouillés par des trains blindés.
On compte 70 morts (dont 21 enfants) et 150 blessés.
Le Général ayant acquis la majorité absolue de voix nécessaire pour être élu, il fut proclamé président dès le premier tour.
Contrairement à ce qui a été dit, les putschistes, déterminés à sauvegarder l'Algérie française ne prévoyaient pas d'envahir la France. Le putsch échoue après que De Gaulle en appelle aux civils et aux appelés.
Sanglants affrontements. Rupture des relations diplomatiques avec la France.
Fusillade de la rue d'Isly : 41 tués.
Timeline
Fusillade de la rue d'Isly : 41 tués.
